Champion du monde du jet de canettes vides Jupiler dans la nature
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Après la défaite de nos joueurs de football en demi-finale de la coupe du monde en Russie le 10 juillet 2018 face à la France, nos voisins français ont rapidement qualifié la réaction des supporters belges d'excessive, de mauvaise foi et même de seum. Une expression nouvelle surtout employée par les jeunes qui signifie : réaction de dégoût, de frustration. Les évènements récents (Finale de la coupe du monde de football 2022 au Qatar) nous prouverons que le seum peut aisément passer les frontières...
Cette petite rétrospective pour en venir au seum que connaissent quotidiennement tous les promeneurs et ceux qui parcourent les rues des communes de Belgique. En effet, comment ne pas être dégouté, révolté de voir les rues, les chemins, les bords des routes et les champs jonchés de déchets divers. Dans le lot de ces détritus produits par l'homme se trouvent en grand nombre les canettes en aluminium vides dont celles de la marque de bière belge : la Jupiler.
La Jupiler, la bière la plus vendue en Belgique
Anheuser-Busch Inbev dont le siège social est situé à Louvain est le plus grand groupe brassicole au monde. Le groupe belgo-brésilien produit et commercialise la Jupiler mais aussi la bière d'abbaye Leffe, la bière blanche Hoegaarden, la bière blonde Stella Artois, la bière ambrée Kwak, etc... Des bières qui sont servies dans les tavernes ou achetées en fûts, en bouteilles et en canettes. Un succès auprès des consommateurs qui se traduit malheureusement également sur le terrain.
La Jupiler est un des sponsors important du football en Belgique
Anheuser-Busch Inbev, à travers sa bière la plus vendue, est très présent au niveau du football belge. En plus d'afficher sur chaque contenant en aluminium la tête des Diables Rouges lors des compétions internationales, elle est le sponsor officiel du championnat de football qui se déroule en Belgique. La Jupiler Pro League est une compétition de football appelé Division 1A ( en abrégé : D1A) qui a été créée en 1895 et qui regroupe actuellement 18 équipes de football professionnelles.
Les canettes dans la nature donne une mauvaise image
La vision de toutes ces canettes en aluminium éparpillées un peu partout sur le bord des routes et dans les caniveaux est déplorable. Déplorable pour l'image de La Belgique qui est souvent taxée de pays sale mais aussi déplorable pour l'image des fabricants de boissons. Une publicité dont les marques se passeraient bien et qui, à la longue, peut devenir un handicap pour ces multinationales. En effet, la population prend conscience que cette situation de chaos ne peut plus continuer et qu'il est grand temps d'agir afin de protéger l'environnement, surtout qu'un déchet en aluminium de soft ou d'alcool a une durée de vie très longue. Tout comme les couches jetables, les sacs plastiques, le contenant en métal argenté mettra plus de cent années, parfois jusqu'à 500 ans avant de disparaître complètement… autant dire des déchets de grande consommation qu'on laisse à nos générations futures.
Les autres marques de canettes qu'on trouve dans la nature
Naturellement, il n'est pas question de jeter la pierre sur la multinationale Anheuser-Busch Inbev, le producteur de la Jupiler. Comme dit auparavant, le groupe brassicole belgo-brésilien est plus victime de son succès commercial qu'il n'est responsable du comportement sale de certains citoyens résidant en Belgique. De plus, au niveau des contenants en aluminium abandonnés sur les bords des routes, on trouve également les marques suivantes :
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Des softs (Coca-cola, Sprite, Pepsi, Tropico, Ice-Tea, Evian, Schweppes, etc...),
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Des boissons énergisantes alcoolisées ou non (Reign, Nalu, Red Bull, Monster, etc...),
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Des alcools (CaraPils, Guinness, Heineken, Belle-Vue, 1664, Kasteel, Maes, etc...).
Un cocktails de déchets, qui malgré les efforts des communes, de la région et surtout de leurs employés ne fait qu'augmenter. A peine, les endroits nettoyés que ceux-ci sont à nouveau souillés par un automobiliste ou ses passagers qui jettent leurs ordures. Sans oublier le promeneur qui se déleste de ses emballages dans la nature. Des comportements inciviques pour cet environnement qui a déjà assez souffert par le je m'en foutisme et l'irrespect de l'humain au cours des siècles.
Les canettes tuent les animaux
En plus de polluer la nature de façon durable, les contenants en aluminium sont un vrai danger mortel pour les animaux qu'ils soient sauvages, de fermes ou de compagnies. En effet, broyés par exemple par une faucheuse, le métal argenté est disséminé un peu partout dans l'herbe au bord des routes ou dans les prairies. Les animaux en se nourrissant risquent d'ingurgiter ces morceaux d'aluminium extrêmement tranchants. Etouffés ou la bouche en sang, leur calvaire est parfois très long et l'issue est souvent fatale. La fédération des éleveurs avance le chiffre de 3 000 vaches qui, après avoir ingurgité des morceaux de métal, sont mortes chaque année rien qu'en Wallonie.
Les solutions face aux canettes en aluminium jetées
La solution qui n'en est pas une est de baisser les bras, de laisser faire, d'attendre que les employés communaux, régionaux ou que des bénévoles ramassent les déchets laissés par d'autres. A la limite de shooter sur les canettes afin de les pousser un peu plus loin dans le champ ou dans la rigole, histoire de ne plus les voir. Ce comportement est révélateur d'un sentiment d'impuissance face à de telles actes d'incivilités. Et pourtant, il existe des solutions afin d'enrayer une situation qui empire chaque année.
Le recyclage des canettes
La grande majorité des citoyens belges est consciente de la nécessité de trier ses ordures afin de faciliter le recyclage de celles-ci. Que ce soit les cartons, les plastiques ou les canettes, ceux-ci sont correctement séparés afin de faciliter leur reconversion en d'autres contenants ou objets. Selon Be Wapp (association sans but lucratif créée par Fost Plus, Fevia Wallonie et Comeos), les canettes en aluminium vides peuvent être recyclées et avoir une deuxième vie en à peine 60 jours. Presqu'autant qu'un chat qui a 7 vies, le recyclage peut s'effectuer 6 fois par an. Et mieux qu'un félin, le recyclage du contenant en aluminium se fait à l'infini ! Naturellement afin d'arriver à un tel résultat, il faut absolument que toutes les détritus en alu qu'ils soient de soft, de boissons énergisantes ou d'alcools soient collectés afin d'être traités correctement. En Europe, sur les années 2020 et 2021, ce sont au total 510 000 tonnes de canettes en aluminium qui ont été recyclées. Ces chiffres proviennent d'un rapport des organisations professionnelles Metal Packaging Europe et European Aluminium qui ont collecté les données de l'Union européenne, de la Suisse, de l'Islande, de la Norvège et du Royaume-Uni.
Les nasses à canettes
Les nasses sont disposées le long des routes de campagne afin d'inciter les citoyens à y jeter leur contenant en alu et les bouteilles en plastique. Ceci afin de protéger la nature et les animaux qui y vivent. Ces mobiliers principalement ruraux sont composés d'un tube en acier galvanisé, d'un anneau de 100 cm ou 120 cm de diamètre et d'un filet en Polypropylène de 3 mm ; le maillage de 4,5 cm ou 5 cm. Celui-ci est assez fin afin de ne pas les laisser passer les contenants et assez large pour que le vent n'ait pas de prise. Une cordelette de fermeture à nœud est présente afin de procéder à la vidange de la nasse. La capacité de ce mobilier rurale est d'environ 320 litres. Un système utile mais qui malheureusement sert également de dépôt sauvage. Il n'est pas rare que les ouvriers communaux y trouvent aussi divers objets tels que des pneus, de la frigolite, des sacs poubelles, des caisses en tout genre et des encombrants.
Les machines à canettes
Utilisés intelligemment, ces machines qui délivreraient un bon ou encore mieux effectueraient un virement directement sur le compte du déposant pourraient être un moyen formidable afin de lutter contre l'abandon des contenants aussi bien en plastique qu'en aluminium. Disposés lors de concerts, de manifestations à des points clefs ou accessibles dans les commerces, ils pourront lutter concrètement et efficacement contre les incivilités. Afin de ne pas pénaliser les petits indépendants, dont l'achat d'une telle machine est un investissement important, l'Etat belge a le devoir de les aider. Une compensation financière devra être prévue afin de couvrir la consommation électrique, la maintenance et l'entretien des machines de recyclage.
Le seul bémol à ce système est une augmentation du prix de la canette ou de la bouteille en plastique via la consignation... donc une nouvelle taxe.
La sensibilisation contre l'abandon des canettes
Les médias et les déchets
Les campagnes de sensibilisation afin d'encourager les citoyens belges et étrangers à être plus respectueux de la nature sont diffusées aussi bien à la télévision que sur les panneaux le long des autoroutes. Malheureusement, comme le plus souvent, le message n'est compris que par ceux qui sont déjà convaincus que les ordures produites par l'homme n'ont rien à faire dans la nature, sur le bord de la route ou sur les trottoirs. La preuve que le message n'est pas entendu par certains sont les tonnes de déchets divers ramassés chaque année par les services communaux, régionaux et lors des campagnes de nettoyage durant lesquelles des milliers de bénévoles jeunes et moins jeunes s'engagent.
L'éducation et les déchets
Afin de ne pas reproduire les erreurs du passé, il est important d'enseigner aux enfants, dès leur plus jeune âge, le respect de l'environnement. Tout au long de leur parcours scolaire, des programmes éducatifs peuvent leur être proposés afin qu'ils appréhendent et adhèrent à une Belgique plus propre. Qui sait, ces initiatives seront peut être la source de nouvelles vocations et de nouvelles découvertes aussi bien dans la production de contenants recyclables ou biodégradables et dans l'industrie de recyclage.
La contribution environnementale à l'achat d'une canette
Selon les chiffres fournis par le cabinet de la ministre wallonne de l'Environnement Céline Tellier, en 2020 ce sont 3 420 tonnes de canettes et bouteilles en plastique qui on été ramassées dans la nature en Wallonie. Chaque année, ces incivilités coûte environ 4 000 000 d'euros. Un montant qui est à charge de chaque famille wallonne. Face à cette situation sans fin, les autorités en charge de l'environnement redouble d'ingéniosité afin de lutter contre ces incivilités. De temps en temps revient sur la table une nouvelle cotisation qui devrait être appliquée lors de l'achat de chaque bouteille en plastique et de cannette. Un des partisans de ce système est l'organisation de consommateurs belge à but non lucratif Test Achats . Celui-ci considère qu'en donnant de la valeur aux contenant qu'ils soient en plastique ou en aluminium, le citoyen belge ne le considèrera plus comme un déchet et ne s'en débarrassera plus n'importe où. Au Nord du pays a été réalisée conjointement avec les intercommunales flamandes de collecte des déchets et les universités de Hasselt, d'Anvers et de Louvain, une étude sur le sujet appelée "Recover". Il en ressort qu'une consigne diminuerait de 90 % la quantité d'emballage jetés dans la nature.
Prime-retour en région Wallonne
La Wallonie a lancé un projet pilote en 2018 qui s'est terminé le 30 juin 2022. Celui-ci a été appliqué dans 24 communes wallonnes situées dans :
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La province du Brabant Wallon (La Hulpe, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Perwez, Tubize),
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La province du Hainaut (Chièvres, Courcelles, Dour, Frameries, Frasnes-lez-Anvaing, Les Bons Villers),
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La province de Liège (Amay, Bullange, Butgenbach, Donceel, Fexhe-le-Haut-Clocher, Nandrin),
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La province de Luxembourg (Bastogne, Etalle, Meix-devant-Virton, Neufchâteau),
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La province de Namur (Anhée, Eghezée, Fernelmont, Yvoir).
Le but de ce projet qui a été testé dans le sud de la Belgique était double :
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Le premier était d'inciter les citoyens à ramasser les canettes abandonnées dans l'espace public. Une rétribution de 5 cents, sous forme d'un chèque de 5 euros pour 100 emballages en alu rapportés leur était alors octroyée. Un système calqué sur le modèle allemand qui a vu se développer un efficace réseaux de collecteurs arrondissant ainsi leurs fins de mois.
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Le deuxième volet était d'analyser l'amélioration de la propreté d'un tel système de collecte.
La reprise des détritus en aluminium se faisait par l'intermédiaire d'une machine et par des employés communaux. Sur 3 ans, ce sont 2 667 000 de canettes qui ont été recyclées. Un projet pilote qui a un coût pour la région Wallonne à hauteur de 133 350 euros sans oublier le coût des machines louées ou achetées et le salaire des fonctionnaires.
Le système de consigne aux Pays-Bas
Chez nos voisins du Nord, une consigne de 25 cents est appliquée sur chaque emballage de boissons. Selon les chiffres, le système hollandais aurait réduit de 40 % l'abandon des déchets dans la nature. Un résultat qui peut être considéré comme mitigé.
Le système de consigne en Allemagne
Rapporter ses consignes à usage unique (Einwegpfand) ou réutilisable (Mehrwegpfand) est une habitude déjà bien ancrée outre Rhin. Le montant de la consigne est de 25 centimes pour tous les produits à usage unique car ils ont un coût environnemental plus important que les contenants réutilisables. Selon les chiffres des acteurs du recyclage en Allemagne, le taux est de 98,5 %. A titre de comparaison, en France, le taux de recyclage est de 70% pour les contenants en aluminium.
Les inconvénients de le contribution environnementale pour les canettes
Ce système qui peut sembler attrayant a malheureusement des inconvénients non négligeables.
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Le premier est de pénaliser à nouveau le citoyen qui respecte les consignes de tri. Celui-ci devra débourser 10 à 25 centimes pour tout achat d'un récipient à usage unique en aluminium. Ce qui correspond à 2,40 à 6 euros pour un pack de 24 bières ou de soft quelles que soient leurs contenances.
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Le deuxième est la reprise des emballages en aluminium par les commerçants. Là où les grands groupes pourront s'offrir des machines ultra sophistiquées et surtout très chères qu'en sera-t-il des indépendants qui devront eux, trier les déchets à la main. Face à cette situation, en plus d'être hygiéniquement contestable, le système de caution découragera plus d'un commerçant de vendre ce type de boissons en canette.
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Le remboursement de la caution est également un souci pour les petits commerçants indépendants. En effet, les politiques associés aux banques ont mis en place un programme répressif. Celui-ci contraint tous les établissements commerciaux à proposer un paiement via Bancontact ou cartes de crédit. Devront-ils rembourser la caution via le terminal ou par pièce de 5 centimes ?
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Comme pour la cotisation d'emballage qui est 1,4100 euros par hectolitre de produit pour les récipients individuels réutilisables et de 9,8600 euros par hectolitre de produit pour les autres récipients individuels déjà appliquée, est-ce qu'une taxe de 10 centimes supplémentaires sera vraiment dissuasive ? Devrait-elle être à la hauteur de 25 centimes comme aux Pays-Bas ou alors plus importante afin de se rapprocher des 100% d'emballage en alu recyclé ? Pourquoi pas alors 50 centimes voir plus pour une canette de Coca-Cola de 33 cl à 0,64 euros ou pour une Jupiler de 33 cl à 1,11 euros. En ces temps où l'inflation est à deux chiffres, il est impossible d'imposer ce nouveau système à une population déjà fragilisée par les différentes crises à répétition.
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La Belgique est un petit pays dont les frontières sont partagées avec 4 nations (France, Grand-duché de Luxembourg, Allemagne et Pays-Bas). Qu'en sera-t-il des contenants en alu achetés dans ces pays ou plus loin, la caution imposée en Belgique sera-t-elle également remboursable au frais du contribuable belge ? Le système allemand apporte un début de solution. En effet, les contenants à usage unique sont marqué d'un code-barres qui indique qu'ils sont soumis à la législation allemande. La consigne des canettes importées n'est donc pas remboursée.
Même si les politiques portent en grande majorité le projet, les fabricants de boissons ne sont pas pour ce nouveau système. En cause, l'augmentation importante du prix du produit qui pourrait à terme freiner la consommation. A leur côté on peut trouver les services en charge des collectes des PMC qui ont investi énormément dans des centres de tri situés en Belgique.
La répression envers ceux qui jettent les canettes
A moins de cacher un agent de la paix ou un policier derrière chaque arbre et chaque mobilier urbain, il est très difficile de prendre sur le fait tous ceux qui se débarrassent de leurs déchets qu'ils soient en aluminium, en carton ou en plastique. Malgré cette évidence, il faut absolument continuer à punir les incivilités. Dans de plus en plus de communes, les autorités communales exaspérées par les incivilités installent des caméras afin d'identifier les contrevenants.
Ceux qui sont pris en flagrant délit doivent avoir une réponse adéquate à leur incivilité. Quelques cessions de nettoyage des routes et des champs devraient les convaincre de la nécessité de changer de comportement et de protéger l'environnement.
Les amendes prévues pour le jet de canette
En région Wallonne comme en région Bruxelloise, le montant de l'amende est de 200 euros.
En Flandre, le montant de l'amende varie entre 100 et 300 euros selon les localités. Il est à noté que le montant de 300 euros peut être divisé par deux lorsque c'est un mineur qui a commis l'infraction.
Champion du monde de la propreté
Rapporter la coupe du monde de football en Belgique sera peut-être un jour une réalité. En attendant, les citoyens, les politiques ainsi que les fabricants de boissons doivent unir leurs efforts afin de trouver une solution durable à cette pollution qui s'éternise et prend de plus en plus d'ampleur.
Les consommateurs de boissons en canette
Chaque belge qu'il soit supporter ou non d'une équipe du championnat et/ou de l'équipe nationale peut agir afin d'apposer, sur sa vareuse, une étoile. Montrer à la planète entière que les citoyens de Belgique ont décidé d'agir afin de mettre fin à la pollution de nos cités et de la nature. Rapporter ses emballages en aluminium à la maison et les placer dans des sacs de tri est à la hauteur de chacun. En agissant ainsi, en plus de montrer l'exemple à nos enfants, nous agissons afin de leur offrir un monde plus propre, plus sain… en un mot : meilleur.
Les producteurs de boissons en canette
Les fabricants de bières, de soft et de boissons énergisantes ont également un rôle primordial dans la protection de la nature. Avoir un budget important pour afficher la tête des footballeurs de l'équipe nationale belge est peut-être intéressant en terme de marketing mais c'est un calcul à court terme. Par contre, encourager la population belge a recycler, à sauvegarder l'environnement rapporte beaucoup plus en terme d'image. A quand la canette en aluminium rouge qui devient verte ?
Les politiques face à la problématique des canettes abandonnées dans la nature
Quelles que soient leur tendance, les hommes et les femmes politiques ne peuvent rester les bras croisés. Des mesures et non des mesurettes doivent être prises afin de solutionner durablement cette problématique.
Cela passera naturellement par l'éducation, la prévention et par la répréhension. Malheureusement, certains ne comprendront jamais que pour vivre en harmonie avec le monde qui nous entoure, il faut en prendre soin et non le détruire à petit feu. Les responsables de cette pollution devront donc être responsabilisés afin qu'ils comprennent la portée de leurs actes.
Les investissements dans la recherche au niveau du recyclage et dans la recherche d'une alternative aux canettes en aluminium sont également primordiaux et doivent être soutenus par les pouvoirs publics. Ceux-ci devront être faits en étroite collaboration avec les multinationales. Ces investissements verts auront sans aucun doute des effets bénéfiques :
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Une nature et des villes plus propres,
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La Belgique améliorera son image à l'international,
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Une source d'emploi à haute valeur ajoutée,
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Un meilleur cadre de vie pour chaque citoyen.
Mais avant d'arriver à une situation meilleure, attention aux mesures appliquées sans concertation, à la va vite et dans un but purement électoral. Il est inconcevable et non productif de pénaliser les citoyens qui jouent le jeu du recyclage des canettes de boissons. L'écologie et la protection de l'environnement ne doit pas être une excuse pour de nouvelles taxes ou de nouveaux impôts !
Ils sont perdus
WLG - Pilou — Chat perdu Belgique à Seraing — 20/11/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Beige grise
- Type de pelage Longs poils
- Comportement Peureuse
- Castré/stérilisé Oui
WBR - Blues — Chien perdu Belgique à Waterloo — 19/11/2024
- Sexe Mâle
- Castré/stérilisé Non
- Puce électronique 489945
WBR - Moon — Chat perdu Belgique à SAINTES — 13/11/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Grise
- Type de pelage Court
- Comportement Sociable
- Castré/stérilisé Oui
- Puce électronique Non
WLG - Boul — Chat perdu Belgique à Awans — 13/11/2024
- Sexe Mâle
- Couleurs Roux
- Type de pelage Court
- Comportement Sociable
- Castré/stérilisé Oui
Ils ont été trouvés
Chat trouvé Belgique à Namur — 15/11/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Blanc et noir
- Comportement Très affectueuse, désorientée
Chat trouvé Belgique à Braine-le-Comte — 09/10/2024
- Couleurs Gris et blanc
- Type de pelage Tigré
- Comportement Gentil, pas très peureux
Chat trouvé Belgique à Molenbeek-Saint-Jean — 08/10/2024
- Sexe Femelle
- Type de pelage Tigrée
- Comportement Câlines et sociables
- Castré/stérilisé Non
Chat trouvé Belgique à Wasmes — 24/09/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Blanc, grise et brun
- Type de pelage Cours
- Comportement Calme, câline
- Castré/stérilisé Non
- Puce électronique Aucune